5 conseils pour bien communiquer au travail

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La communication, le nerf de la guerre ? Peut-être bien. Quand on observe de plus près les conflits en entreprise, on se rend vite compte que la plupart trouvent leur origine dans des quiproquos gangrénés ou des blessures égotiques : une mauvaise communication en somme. Voici donc 5 conseils de base pour bien communiquer au travail.

Attendre ou créer le moment propice

Comment communiquer au travail ?

Comment communiquer au travail ?

Avant de délivrer une information, exposer ses griefs ou demander une explication, il faut évaluer l’importance de la discussion qui va avoir lieu. Ne pas soumettre un problème de grande ampleur à son chef entre deux portes ni un élément nouveau qui vient chambouler le projet d’un collaborateur en fin de conversation au téléphone.

Demandez un entretien formel, organisez une réunion ou un rendez-vous dédié pour avoir un cadre idéal de communication.

Conseil : de la même façon, quand vous vous adressez à un interlocuteur à propos d’un problème à résoudre, proposez d’emblée des pistes de réflexion ou une solution provisoire, sinon définitive. Cela montre que vous avez pris le temps de réfléchir de votre côté sans vous décharger de la décision.

1. Savoir écouter

Se taire, ça n’est pas écouter. Ne soyez pas centré sur vos préoccupations lors d’un échange professionnel, houleux ou non. Le « dialogue de sourds » ne mène jamais à une issue satisfaisante pour les deux partis : écoutez activement les arguments ou informations qu’on vous partage. C’est la meilleure garantie que l’on vous écoute en retour !

Conseil : pour une discussion efficace et claire, n’hésitez pas à demander confirmation que vous avez bien compris en reformulant ce que votre interlocuteur vous expose.

2. Faire des critiques… constructives

Si les compliments peuvent aisément se faire en public, les critiques sont à faire en cercle restreint, avec les protagonistes concernés uniquement.

Avant de mettre vos ressentiments sur la table, mettez-vous d’accord sur les faits, de façon la plus objective possible. Ensuite, au « tu », qui se fait très souvent accusateur, préférez le « je » en partageant vos sentiments, ce qui limitera le jugement, et donc l’installation d’un rapport de force.

Enfin, avant d’émettre une critique, demandez-vous toujours si ce que vous allez dire a une réelle utilité : est-ce que cela fera progresser les choses ?

3. Parler en son nom

Assumez vos responsabilités ! L’usage du « on » ne fait pas avancer les choses, et retarde le passage à l’action. En considérant chaque personne comme un individu capable, que l’on nomme clairement, et auquel on accorde du crédit va responsabiliser les équipes. Chacun saura clairement de quoi et de qui il est question.

Nommez expressément les personnes qui doivent effectuer les tâches et ne prenez pas la parole au nom des autres si le mandat n’est pas approuvé par tous.

4. Dire ce que l’on fait, et faire ce que l’on dit

La communication est parfois liée à la notion de confiance : les compétences de chacun sont implicitement impliquées dans l’échange, et la légitimité de l’interlocuteur peut impacter la qualité de la communication avec lui.

Exemple : une personne dont on estime le travail sera plus facilement écoutée et respectée. Faire de votre mieux, être intègre et transparent dans votre travail est un atout indéniable pour communiquer avec vos collègues et supérieurs.Publicité




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